Découverte en 1967, la villa est l’exemple périgourdin le mieux conservé des grandes villae du début de l’empire (époque flavienne). Elle s’organise selon le plan typique des résidences en Aquitaine celtique et méridionale : trois des ailes se développent autour d’une grande cour intérieure à péristyle, l’extérieur étant pourvu d’une galerie de façade à colonnade. La villa a subi trois phases de construction qui l’ont dotée de salles d’audience (parfois avec des systèmes de cloison mobile) et de thermes privés.