Commencée en 1967, l'étude du sarcophage du Rigola avait été laissée en suspens, jusqu'à reprendre récemment. La défunte était placée dans un cercueil en bois, et accompagnée d'un dépôt funéraire particulier : une coupe en métal cuivreux, deux flacons de verre, des objets liés à l'industrie du tissage (fusaïole, aiguilles à tricoter, lame de tisserand), et des épingles en jais. Ces dernières, d'origine anglo-saxonne, mettent en évidence les changements économiques de la fin du IIIème siècle.